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2651 | HENRI BUJOLD 06 septembre 1931 – 02 février 2024 - 92 ans Au Centre Hospitalier de Maria, le 2 février 2024, à l'âge de 92 ans, est décédé monsieur Henri Bujold, époux de feu Simone Babin. Il était originaire de St-Elzéar. Il était le fils de feu Albert Bujold et de feu Aline Henry. Monsieur Bujold laisse dans le deuil : Ses enfants : France (Vilmont Moreau), Gemma (Gaston Arsenault), Roger (Dominique Arsenault), André (Ghislaine Major), Catheline (Damien Arsenault), Germain, Marc (Mireille Clairmont) et Guy (Bernadette Gauvreau); Ses 17 petits-enfants : Stéphanie, Julie, Jean-François, Cathy, Simon, Claudie, Olivier, Edith, Maggy, Francis, Elizabeth, Frédérique, Charles, Guillaume, Alexandra, Claudia, Molly; Ses 21 arrières petits-enfants; Ses frères et sœurs : Raymond-Marie (feu Émérentienne et feu May), Jean-Marie (Cécile), Rose, Gérald (Danielle Bernard) et Nicole (Bernard Dubreuil); Ses beaux-frères et belles-sœurs de la famille Babin; Plusieurs neveux, nièces, cousins, cousines, autres parents et amis; Ainisi que ses amis de la Résidence Gilker. Il est allé rejoindre ses frères et sœurs déjà décédés : Jeannine, Raymonde, Lucille et Maurice. La famille aimerait remercier Hélène Chouinard (qu’il aimait beaucoup) et son équipe de la résidence Gilker pour leur grande disponibilité, l’écoute, l’aide et l’affection. Merci spécial à Gail Bourdages et à Karine Poirier, vous avez mis du soleil dans sa fin de vie. Un gros merci à France, Catheline, Guy et Dominique pour avoir répondu aux besoins grandissants de nos parents, Nous vous en somme très reconnaissant. La famille recevra les condoléances vendredi le 9 février 2024 de 19h00 à 21h00 au Salon funéraire Henri Thibodeau de Bonaventure et samedi, jour des funérailles, le salon ouvrira à 9h30. Les funérailles seront célébrées à compter de 10h30 en l’Église de Bonaventure. Par la suite, monsieur Bujold sera reconduit à son dernier repos au cimetière de St-Elzéar. Vos marques d’affection à la famille peuvent se traduire par un don fait à sa mémoire à la future Maison de soins palliatifs de la Baie-des-Chaleurs. | BUJOLD, Pierre Henri (I10221)
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2652 | HENRI BUJOLD 10 septembre 1921 – 27 avril 2018 - 96 ans Au CHSLD de New Carlisle, le 27 avril 2018 est décédé à l'âge de 97 ans monsieur Henri Bujold, époux de feue Madame Pauline Cavanagh demeurant à St-Siméon. Monsieur Henri Bujold laisse dans le deuil : ses fils: Jean-Claude (Michelle), Dial, Richard (Lucie) et Valmard, ses petits-fils: Jonathan (Jessica), Jean -Nicolas (Anne-Marie Boisvert) et Mathieu, ses arrière-petits-enfants: Emma, Charles-Alexandre et Elizabeth, ses belles-soeurs: Graciette Bujold Cavanagh, Bertha Cavanagh Bujold, Soeur Elisabeth Bujold, ses neveux et nièces ainsi que ses fidèles amis, avec qui il aimait tant sortir. La famille recevra vos condoléances le vendredi 11 mai 2018 à compter de 19 heures au salon funéraire Henri Thibodeau de Bonaventure situé au 304 Port-Royal à Bonaventure.Les heures de visite sont de 19 heures à 21 heures. Les funérailles auront lieu en l'église de St-Siméon le samedi 12 mai 2018 à 10 heures 30. Il est à noter que samedi, jour des funérailles , le salon ouvrira ses portes à 9 h00. La direction des funérailles a été confiée aux Salons Funéraires Henri Thibodeau, filiale du réseau H.G. Divison Inc . | BUJOLD, Joseph Henri (I8338)
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2653 | Henri fut manoeuvre. | BUJOLD, Henri (I6918)
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2654 | Henry Bijou's Spouses and Children Mary Bijou Wife F Michigan Saba Bijou Son M Ionia, Michigan, United States Name Saba Bijou Sex Male Father's Name Henry Bijou Father's Sex Male Father's Birthplace Canada Mother's Name Mary Bijou Mother's Sex Female Mother's Birthplace Michigan Event Date 1893 Event Place Ionia, Michigan, United States Source Details item 2 p 128 rn 321 | BIJOU (BUJOLD), Saba (I19920)
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2655 | Henry Frederick and Julie Byeaux from Louisiana Parish Marriages, 1837-1957 Name: Henry Frederick Event Type: Marriage Event Date: 14 Feb 1917 Event Place: St. Martin, Louisiana, United States Sex: Male Age: 21 Birth Year (Estimated): 1896 Father's Name: Denton Frederick Mother's Name: Adelaid Courville Spouse's Name: Julie Byeaux Spouse's Sex: Female Spouse's Age: 23 Spouse's Birth Year (Estimated):1894 Spouse's Father's Name: Achille Byeaux Spouse's Mother's Name: Eugenie Bayas | Famille: Henry FREDERICK / Julie BIJEAU (BUJOLD) (F5654)
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2656 | Henry Leblanc's Spouses and Children Emma Leger Leblanc Wife F Mrs Elda M Leblanc Bonnevie Daughter F 84 Skouduc, New Brunswick Name Mrs Elda M Leblanc Bonnevie Sex Female Age 84 Death Date 29 Jul 1989 Birth Year (Estimated) 1905 Relationship to Deceased Deceased Relationship Code Head Event Type Obituary Event Date 29 Jul 1989 Event Place Massachusetts, United States Newspaper Worcester Telegram & Gazette ther People on This Record Aime Bonnevie M Leo Bonnevie M Alfred Bonnevie M George Bonnevie M Claire Bonin F Annette Couillard F Sister Rose Marie Bonnevie F Claudette Ankiewiez F Sara Gallant F | LEBLANC, Elda dite Exelda (I2009)
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2657 | Henry Paul Bujol Louisiana Deaths, 1850-1875, 1894-1960 Name: Henry Paul Bujol Event Type: Death Event Date: 09 Jul 1924 Event Place: Plaquemine, Iberville, Louisiana Gender: Male Age: 54 Age: 54y 11d Marital Status: Married Race: White Birth Date: 1870 Birth Year (Estimated): 1870 Birthplace: Donaldsonville, Louisiana Father's Name: Edmond Bujol Mother's Name: Hermanie Brugere Spouse's Name: Bouvy Spouse's Gender: Female Certificate Number: 8816 Record Number: 1249 | BUJOL (BUJOLD), Henry Paul (I13599)
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2658 | HENRY-BUJOLD Emma Jour du décès 15 juillet 2012 Ville Montréal, QC Emma Henry-Bujold Aperçu de l'avis À Montréal, le 15 juillet 2012, à l'âge de 93 ans, est décédée Emma Henry, épouse de feu Roméo Bujold. Elle laisse dans le deuil ses enfants Pierrette (Louis Gilles), Micheline (Claude), Suz.. | HENRY, Emma (I12253)
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2659 | Her first marriage was with Mr. Bufkin Her second mariage was with Robert Joseph Bujol Her maiden name was Brown | BROWN (BUFKIN), Helen France (I13721)
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2660 | Her succession was filed at the St. Martinville Parish courthouse on 1 December 1870. BIJEAU, Azema m. Edmond PATIN Succ. dated 1 Dec. 1870 (SM Ct. Hse.: Succ. #2221) 1 December 1870 : Probate - St. Martinville, St. Martin, LA Sources: Southwest Louisiana Records, 1750-1900: compact disk #101 - Donald J. Hébert - Rayne, LA: Hébert Publications, 2001 - BIJEAU, Azema m. Edmond PATIN Succ. dated 1 Dec. 1870 (SM Ct. Hse.: Succ. #2221) | BIJEAU (BUJOLD), Azema (I1563)
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2661 | Heri LeBlanc avait 37 et Claudia Babineau avait 20 ans. | Famille: Henri LEBLANC / Claudia BABINEAU (F651)
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2662 | Hermina Brugere Bujol BIRTH 1840 Louisiana, USA DEATH 25 Dec 1904 (aged 63–64) Hohen Solms, Ascension Parish, Louisiana, USA BURIAL Ascension of our Lord Catholic Church Cemetery Donaldsonville, Ascension Parish, Louisiana, USA | BRUYERE, Mary Hermina (I13607)
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2663 | Hermina Bruyere in entry for Joseph Edmond Buyol, "Louisiana, Ascension Parish, Index of Marriages, 1773-1963" | Famille: Joseph Edmond BUJOL (BUJOLD) / Mary Hermina BRUYERE (F4465)
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2664 | Hermine Melancon Bijeaux BIRTH 14 Nov 1893 DEATH 15 Oct 1974 (aged 80) Breaux Bridge, St. Martin Parish, Louisiana, USA BURIAL Saint Bernard Cemetery and Mausoleum #01 Breaux Bridge, St. Martin Parish, Louisiana, USA Show Map PLOT Section A, row 4, #2 | MELANCON, Hermine (I5645)
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2665 | Hervé Bujold 1923 - 2008 À Boucherville, le 27 décembre 2008, à l'âge de 85 ans et 10 mois, est décédé M. Hervé Bujold, époux de feu Georgette Lambert. Il laisse dans le deuil sa fille Marie (François-José), son fils Jacques (Céline), ses trois petits-enfants Simon, Olivier et Raphaël, son arrière-petite-fille Alice, sa soeur Germaine ainsi que de nombreux parents et ami(e)s. La famille recevra les condoléances le mardi 6 janvier de 14h à 17h et de 19h à 21h au Centre funéraire de Charlesbourg 7335, boulevard Henri-Bourassa Charlesbourg ainsi que le vendredi 9 janvier de 14h à 17h et de 19h à 22h au Salon funéraire JF Fortin et fils 275, Commerciale Ouest, Chandler Les funérailles seront célébrées le samedi 10 janvier à 10h30 en l'église de Chandler, paroisse Saint-Coeur-de-Marie | BUJOLD, Hervé (I10566)
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2666 | Hilarion 22 & Marie 13 | Famille: Hilarion BERNARD / Marie GALLANT (F1651)
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2667 | Hilda Bijeau 1924-2008 À l’Hôpital Général de Grand-Sault, le jeudi 24 avril 2008, à l’âge de 83 ans, est décédée Hilda Ruest, épouse de feu Aurèle Bijeau, domiciliée à Saint-Léonard. Née à Grand-Sault en 1924, elle était fille de feu Eddie Ruest et de feu Thérèse Bellefleur. Mme Bijeau était membre des Filles d’Isabelle de Saint-Léonard. De 1967 à 1970, elle a fait de sa demeure un foyer d’accueil pour plusieurs enfants: Angela, Danny, Diane, Lisa et Gloria. Elle était la mère de tout le monde. De 1970 à 1982, elle appartenait le magasin “Hilda’s Dress Shop” de Saint-Léonard. Elle laisse dans le deuil trois filles, Gabrielle Bijeau d’Ottawa, Ginette (Alan) Irving de Presque Isle, Maine et Bradenton, Floride et Thérèse Jackie (Larry) Sanfacon de la Caroline du Sud; trois fils, Gérald Bijeau (amie Sylvia Mosley) et Mike (Arlene) Bijeau de la Caroline du Sud et Alfred (Marthe Bonsens) Bijeau d’Edmundston, une soeur, Dorothy Michaud de Grand-Sault, 17 petits-enfants, 27 arrière-petits-enfants ainsi que quatre autres “en route”. Elle laisse aussi deux ex-belles-filles, Edwina Thibodeau Bijeau et Jeannine Couillard, cinq belles-soeurs, Jacqueline Bijeau, Lucienne Bourgoin, Adelaide, Féléxine et Azilda Bijeau et un beau-frère, Romeo Huppee, de nombreux neveux et nièces. Elle a été précédée par deux frères, Aurèle et Thomas et deux soeurs, Gertrude et Marianne. Mme Bijeau avait une grande foi; elle priait souvent la Bonne Sainte-Anne, Sainte-Thérèse, le Sacré-Coeur et Notre-Dame-du-Cap. Ses passe-temps favoris étaient de jouer aux cartes, aller au Bingo et magaziner avec ses amies. La dépouille mortelle est exposée au salon Guy O’Regan, 83, rue Saint-Antoine à Saint-Léonard. Ses funérailles auront lieu le lundi 28 avril à 11h en l’église de Saint-Léonard, et l’inhumation au cimetière paroissial. Les heures des visites seront le dimanche de 19h à 21h et le lundi de 9h30 jusqu’au départ pour les funérailles. Les Filles d'Isabelle réciteront les prières dimanche soir à 19h30. Pour ceux qui le désirent, on demande de faire un don à la Fondation des amis de l’Hôpital Général de Grand-Sault. At the Grand Falls General Hospital, April 24, 2008, Mrs. Hilda Bijeau of Saint-Leonard passed away at the age of 83 years. She was the wife of the late Aurele Bijeau. Born at Grand Falls in 1924, she was a daughter of the late Eddie and Therese (Bellefleur) Ruest. Mrs. Bijeau was a member of the Saint-Leonard Daughters of Isabella. From 1967 to 1970, she was the foster mother of several children: Angela, Danny, Diane, Lisa and Gloria. She was considered the mother of all children. From 1970 to 1982, she owned and operated “Hilda’s Dress Shop”, a ladies’ clothing store in downtown Saint-Leonard. She is survived by three daughters, Gabrielle Bijeau of Ottawa, Ginette (Alan) Irving of Presque Isle, Maine and Bradenton, Florida and Therese Jackie (Larry) Sanfacon of South Carolina; three sons, Gerald Bijeau (and friend Sylvia Mosley) and Mike (Arlene) Bijeau of South Carolina and Alfred (Marthe Bonsens) Bijeau of Edmundston, one sister, Dorothy Michaud of Grand Falls, 17 grandchildren, 27 great grandchildren as well as four more on the way. She is also survived by two former daughters-in-law, Edwina Thibodeau Bijeau and Jeannine Couillard, five sisters-in-law, Jacqueline Bijeau, Lucienne Bourgoin, Adelaide, Felixine and Azilda Bijeau and a brother-in-law, Romeo Huppee, several nieces and nephews. She was predeceased by two brothers, Aurele and Thomas and two sisters, Gertrude and Marianne. Mrs. Bijeau had a great faith; she often prayed the Good Saint Anne, St. Theresa, the Sacred Heart and Our Lady of the Cape. She enjoyed playing cards, going to Bingo and shopping with her friends. Her funeral was held Monday, April 28th at 11 a.m. from the Saint-Leonard Roman Catholic Church, with Father Roland Poitras officiating. The pallbearers were Paul Sanfacon, Nicholas Parent, Alan Irving, Nicole Kluckhaln, Monica Apgar and Nathalie Bijeau. Interment was in the Saint-Leonard Cemetery. An honour guard was formed by the Daughters of Isabella. | RUEST, Hilda (I5686)
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2668 | hildren of URBAIN POIRIER and ÉLISABETH PITRE are: i. MARIE SCHOLASTIQUE3 POIRIER, b. 29 May 1856, St-Bonaventure, Bonaventure, Québec, Canada. ii. AUGUSTIN POIRIER, b. Abt. 1859, St-Bonaventure, Bonaventure, Québec, Canada. iii. MONIQUE POIRIER, b. 06 Oct 1860, St-Bonaventure, Bonaventure, Québec, Canada. iv. MARGUERITE POIRIER, b. 23 Aug 1862, St-Bonaventure, Bonaventure, Québec, Canada. v. HÉLÈNE POIRIER, b. 02 Feb 1865, St-Bonaventure, Bonaventure, Québec, Canada. vi. MARIE ANASTASIE POIRIER, b. 31 Oct 1866, St-Bonaventure, Bonaventure, Québec, Canada; d. 10 Nov 1867, St-Bonaventure, Bonaventure, Québec, Canada. vii. MARIE LOUISE POIRIER, b. 13 Nov 1868, St-Bonaventure, Bonaventure, Québec, Canada. viii. MARIE ANASTASIE POIRIER, b. 28 Jul 1872, St-Bonaventure, Bonaventure, Québec, Canada. ix. ANGÉLIQUE POIRIER, b. 20 Dec 1873, St-Bonaventure, Bonaventure, Québec, Canada. x. THÉOPHILE POIRIER, b. 19 May 1876, St-Bonaventure, Bonaventure, Québec, Canada; d. 19 Mar 1877, St-Bonaventure, Bonaventure, Québec, Canada. xi. THÉOPHILE BONAVENTURE POIRIER, b. 23 Feb 1878, St-Bonaventure, Bonaventure, Québec, Canada. xii. MARIE CEDULIE POIRIER, b. 11 Feb 1881, St-Bonaventure, Bonaventure, Québec, Canada; d. 12 Dec 1881, St-Bonaventure, Bonaventure, Québec, Canada. | Famille: Urbain POIRIER / Elizabeth PITRE (F3566)
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2669 | His baptism record lists him as Alexandre Osemie Labiche, born 22 Mar 1849, bap 27 Aug 1849 Assumption Church, Plattenville, LA, son of Victorin Labiche & Marie Choffe [ASM-9,307]. | LABICHE, Ozeme (I14315)
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2670 | His mother is Eva Jean Blanchard BiJeaux. His grandparents were Aline Prevost and Oneil Blanchard. | BIJEAUX, William Keith dit Billy (I16220)
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2671 | His name is Fautly but changed in Canada to Fantly | FANTLY (FAUTLY), Leaf Walter (I3080)
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2672 | Histoire de France Louis est le frère cadet d'Antoine de Bourbon et donc l'oncle du futur Henri IV. Il est à l'origine de la Maison de Condé, une lignée très puissante en France jusqu'au XIXe siècle. Il fait une carrière militaire sous Henri II (défaite de Saint-Quentin en 1557). Sous François II, il devient le rival du parti des Guise qui gouverne. Louis de Condé aurait été l'un des instigateurs de la conjuration d'Amboise, il est condamné à mort avant d'être gracié par le nouveau roi Charles IX. Protestant, il s'impose comme chef des calvinistes au cours des guerres de religion. Après le massacre de Wassy, il prend les armes et prend plusieurs villes du Languedoc et de la Loire. Isolé, il est finalement capturé à Dreux en 1562. Libéré, il reprend les armes et perd la bataille de Jarnac en 1569, blessé il tente de se rendre mais est lâchement abattu d'un coup de pistolet par Montesquiou. Son cadavre est humilié par les catholiques avant d'être exposé deux jours sur une chaise. | DE BOURBON, 1ER. PRINCE DE CONDÉ, Louis I (I2290)
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2673 | Histoire: Even though the English controlled the colony during the 1650's and 1660's, they didn't make much of an impact. During this period Acadia had much more contact with New England than with France. In the early years of Jean and Marie's marriage France again regained control (1667), even though they had decided not to send more colonists to the New World (1666). France regained official control in 1670 and during the next 20 years of Jean and Marie's marriage the settlement grew outward. Positioned between New France and New England made Acadia the subject of disputes and attacks. It received little help from France and the Acadians still continued to trade with New England, although it was forbidden to do so. After French attacks on New England in 1690, in retaliation the English captured and plundered Port Royal. The Port Royal Acadians swore an oath of allegiance to England to avoid further persecution. It was around this time that Jean Pitre died. His widow's second husband was presumably a recent arrival, as he did not appear in the 1686 census. The family continued to live in Port Royal, though by the early 1690's the families of the two elder daughters had moved south to Port Razoir. Over the next 16-17 years sporadic attacks from New England occurred at Port Royal, Minas and Beaubassin, while the children Claude, Marc, Jean, Francois, Marguerite and Jeanne started their own families. Most stayed in the Port Royal area, except Jean who went north to Cobequit. Marie was about 62 when she died the day after Christmas in 1707. Francois Robin had died 14 months before. The end of French control of this part of Acadia was only a few years away. Theories of Jean Pitre's origin According to the declaration at Belle-Île-en-Mer by his grandson Claude Pitre, the pioneer of the Acadian Pitre family is of Flemish origin. However, Père Clarence d'Entremont believes that it is "more likely that he was English" (Histoire du Cap-Sable), according to a report in An Account of the Customs and Manners of the Micmakis and Maricheets (published London 1758), "where it is said that Peters, a toolsmith in England... was of English origin." Excerpt from Dictionnaire Genealogique Des Familles Acadiennes (Stephen A. White), original in French. This mention of a blacksmith named John Peters in Acadia who came from England and the 1671 census showing Jean Pitre as a specialized sort of metalworker raises the theory of this being the same man. Stephen White says, "While there is no proof that the blacksmith and the edge-tool maker were one and the same, there is no real contradiction in supposing that they might have been, in as much as there were many Flemish artisans in England during the middle part of the seventeenth century, and one of them might have chosen to emigrate to Acadia sometime after the English capture of the colony in 1654." The publication, fully entitled, 'An Account of the Customs and Manners of the Micmakis and Maricheets Savage Nations, Now Dependent On The Government Of Cape-Breton' was from an original French manuscript letter written by a French Abbot. The Abbot was lived as a missionary for many years in Nova Scotia. He says in his letter that 'Except a few families from Boston or New England I could never learn there were above three of purely British subjects, who also, ultimately conforming both in the religious and civil institutions to the French, became incorporated with them. These families were the Peterses, the Grangers, the Cartys. These last indeed descended from one Roger John Baptist Carty, an Irish Roman Catholic. He had been an indented servant in New England, and had obtained at length his discharge from his master, with permission to remain with the French Acadians for the freer exercise of his religion. Peters was an iron-smith in England, and together with Granger, married in Acadia, and was there naturalized a Frenchman. Granger made his abjuration before M. Petit, secular-priest of the seminary of Paris, then missionary at Port-Royal (Annapolis). These and other European families then soon became united with the French Acadians, and were no longer distinguished from them.' Or was Jean Pitre really Jan Pietr from Holland' Leopold Lanctot theorizes that in about 1656 Jean emigrated to the American colonies founded by the Dutch, either to Fort-Orange (Albany, NY), or New Amsterdam (New York, NY). England had seized Acadia in 1654, renamed it New Scotland, and sent an expedition led by Sir Thomas Temple which arrived there on 1st May 1657. When war broke out between England and Holland in 1664, Bostonians seized Fort Orange and New Amsterdam. Temple then recruited the Dutch colonists for his new seignory, supposedly including Jan Pietr. (There is no list of settlers from this expedition but the timing allows for the possibility.) Another theory of Jean's origins appeared in The History of St. Anthony's Parish 1803-1980 (which includes the descendants of Jean Pitre in Prince Edward Island, most of whom have taken the name Peters). This account would have him in Permambuco, Brazil and escaping the Dutch wars in South America by hopping a schooner to Acadia. Excerpt from 1984 letter from Stephen White to Leo F. Peters: "The best direct evidence of Jean Pitre's parentage and origin would have been the record of his marriage to Marie Pesseley. Without that one will have to be very lucky indeed to trace him in Europe, even with the area of research narrowed to Flanders. Even if you found a Jean Pitre born in Flanders in 1636, it would be impossible to be sure he was the same Jean Pitre who settled in Acadia without some positive evidence making the connection, such as a record showing his departure for Acadia. Such a record might be almost anywhere, if it exists at all." He could have arrived in Acadia in 1666 on Le Saint Jean Baptiste from France to New France (Quebec), listed as Jean Pitran. His name may have originally been different from what we have in the 1671 census. But whatever his origins, there are today thousands of descendants across Canada, America and France who all trace their way back to Jean Pitre of Acadia. | PITRE, Jean (I992)
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2674 | Histoire: Jacqueline de Montbel d'Entremont, est veuve de l'amiral Gaspard de Coligny, assassiné le jour de la Saint-Barthélémy, le 24 août 1572 : elle sera désormais connue sous le nom de Madame l'Amirale de Coligny. Enceinte de quatre mois, elle réside au château de Châtillon, entourée de ses beaux-enfants, nés du premier mariage de l'amiral. Redoutant l'intrusion des assassins de son mari, elle envoie en Suisse, sous bonne escorte, François et Odet de Coligny, âgés de 15 et 12 ans. Là, ils seront placés sous la protection des huguenots de Berne. Le lendemain, les cavaliers du roi se présentent et arrêtent le petit Charles de Coligny, âgé de huit ans, que Jacqueline avait jugé trop jeune pour accompagner ses frères dans leur chevauchée. Il sera élevé dans l'entourage de la cour royale. Les domestiques du château de Châtillon sont mis en prison et Jacqueline, assistée de sa belle-fille, Louise de Téligny et de deux servantes, doit attendre le verdict du roi et de Catherine de Médicis : ce sera l'expulsion du royaume de France. Une escorte de vingt-cinq cavaliers accompagne madame l'Amirale de Coligny, et sa belle-fille Louise, à la mi-septembre 1572, jusqu'au château de Saint-André de Briord, où l'attend sa mère, Béatrice Pacheco, veuve du comte Sébastien de Montbel d'Entremont. Jacqueline se retrouve donc en Bugey, territoire savoyard placé sous la souveraineté du duc Emmanuel-Philibert de Savoie. Le 21 décembre 1572, Jacqueline donne le jour à une petite fille que l'on nomme Béatrice, en hommage à sa grand-mère. L'une des conditions du retour de madame l'amirale de Coligny en Savoie, était non seulement sa conversion au catholicisme, mais encore le baptême catholique de son enfant. Le baptême est célébré sans festivité, presque en secret, dans l'église paroissiale de Saint André-de-Briord, en présence de sa grand-mère et de quelques serviteurs. On ne tint aucun compte du souhait de Coligny qui avait désigné pour parrain, son ami, Frédéric III, comte de Palatin, qui en Rhénanie ignorait la naissance de la petite-fille. À peine remise de ses couches, madame l'amirale de Coligny confie sa fille Béatrice à une nourrice, sous la surveillance de sa grand-mère Pacheco: Louis Milliet, président du Sénat de Savoie, réussit à persuader le duc de ne pas envoyer l'enfant à la cour de Turin, comme il en avait l'intention17. Mais Jacqueline se livre à tous les excès que redoutaient les conseillers du duc de Savoie : elle refuse ouvertement d'abjurer la religion réformée, se met en relation épistolaire avec les protestants de Bâle, reçoit les émissaires de Genève et, dès le 15 janvier 1573, mandate le polémiste François Hotman afin qu'il publie une biographie à la gloire de feu l'amiral de Coligny. Devant le risque de voir les fiefs frontaliers des Montbel tomber entre les mains des hérétiques étrangers à la Savoie, en cas de projet de remariage de la veuve de Coligny, le duc de Savoie lui propose de venir clarifier sa situation à Turin. Jacqueline est séduite par cette proposition, car elle a gardé un appui appréciable à la cour de Turin :Marguerite de France, duchesse de Savoie, dont elle fut demoiselle d'honneur autrefois à la cour du Louvre. La duchesse de Savoie conserve d'excellentes relations avec les familles protestantes et les aide secrètement de ses subsides. Parvenue le 22 février 1573 avec son escorte savoyarde au col du Mont-Cenis, madame l'amirale de Coligny a la surprise d'apprendre que le duc l'attend à Nice où il est en déplacement. Elle est alors contrainte de le rejoindre à Nice, sous la garde de douze archers piémontais commandés par le niçois André Provana de Leyni. Jacqueline est emprisonnée dans la forteresse de Nice dès son arrivée, le 8 mars 1573, après un périple en mer. La séquestration de madame l'amirale de Coligny provoqua un mouvement d'indignation générale, l'envoi de nombreux ambassadeurs et émissaires mandatés par les calvinistes ou par sa mère, Béatrix Pacheco: Rien n'y fit18. Le duc restait intraitable et attendait une rétractation et un engagement en bonne et due forme de la part de cette rebelle obstinée ! Après de nombreuses manœuvres et un aller-retour jusqu'à la cour de Turin, Jacqueline avait systématiquement refusé d'abjurer dans les formes imposées par le duc et la hiérarchie catholique. Un événement nouveau vient modifier son attitude : La duchesse de Savoie, conciliatrice et médiatrice très estimée de Jacqueline, est morte à Turin le 15 septembre 1574. Elle ne laissera que des regrets à ses sujets. Ne pouvant plus compter sur son aide, madame l'amirale de Coligny va enfin abjurer la foi calviniste le 7 avril 1575 entre les mains de l'évêque de Nice, François de Lambert. Puis, elle signe le traité de Nice du 1er mai 1575 qui va la rendre à une liberté surveillée après deux ans et trois mois de réclusion. De 1575 à 1594, Jacqueline, redevenue officiellement comtesse de Montbel d'Entremont, va renouer avec la vie de la cour de Turin. Elle participe à tous ses fastes et à ses intrigues multiples et elle met au monde en grand secret, en février 1578, une fille naturelle, qu'elle baptise sous le prénom de Marguerite, par fidélité au souvenir de la duchesse de Savoie. Cette naissance restera d'autant plus secrète qu'il s'agit du fruit de sa liaison coupable avec le duc Emmanuel-Philibert de Savoie. L'enfant est adopté par une sœur d'André Provana de Leyni, Cassandre, comtesse de None. Le secret est si bien gardé que seuls les historiens du xixe siècle découvriront la vérité20. Le temps passe : le duc Emmanuel-Philibert de Savoie meurt le 30 août 1580. Son fils, Charles-Emmanuel Ier de Savoie lui succède à l'âge de 18 ans et multiplie les maladresses vis-à-vis de ses voisins français et genevois. Les intrigues vont continuer à se développer à la cour de Turin. La comtesse d'Entremont est fortement soupçonnée d'entretenir des relations secrètes avec Henri IV, depuis l'abjuration et le sacre du roi de France à Chartres le 27 février 1594. Mise en accusation de sorcellerie, défendue par le cardinal d'Ossat, elle est emprisonnée dans la forteresse de Moncalieri à Turin. Elle est ensuite lavée du soupçon de sorcellerie, mais accusée de trahison. Le 17 avril 1598, le duc la fait transférer en prison à Ivrée. Malgré les interventions du roi Henri IV en sa faveur, Jacqueline d'Entremont restera en prison jusqu'au 17 décembre 1599, date de sa mort, à l'âge de 58 ans. Suivant les mots du cardinal d'Ossat, il semble qu'elle ait accepté les sacrements de l'église catholique. On ignore le lieu de sa sépulture. Il aurait suffi qu'elle vive treize mois de plus pour devenir vassale du roi de France : par le traité de Lyon du 17 janvier 1601, le duc Charles-Emmanuel Ier de Savoie cédait définitivement au roi Henri IV la Bresse, le Bugey le Valromey et le pays de Gex. | DE MONTBEL D'ENTREMONT., Jacqueline (I1197)
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2675 | Homme assez remarquable de son époque à cause de son intelligence et de sa formation, Joseph Guéguen est né à Morlaix, en Bretagne (aujourd'hui dans le département de Finistère), le 2 mai 1741, fils de Jacques Guéguen et d'Anne Hamonez. Du côté de sa mère, il était parent de l'abbé Jean-Louis LeLoutre, avec qui il est venu en Acadie à la fin d'avril 1753. Destiné d'abord à la prêtrise, Joseph dut abandonner sa vocatio n religieuse à cause d'une blessure. Il se maria, à la baie des Ouines (Baie-Ste-Anne), durant l'été de 1760, à Anne Arsenault, fille de François Arsenault et d'Anne Bourgeois. Par la suite, ils ont été emprisonnés au fort Beauséjour. En 1765, ils passèrent à Miquelon, pour revenir en 1767 s'établir à Cocagne. Après la mort d'Anne Arsenault, survenue vers 1770, Joseph contracta un mariage assez malheureux avec Marie Caissie, fille de Joseph Caissie et de Marie-Josèphe Lapierre, et veuve de Pierre Lambourt. Après le décès de Marie en novembre 1807, Joseph convola en troisièmes noces, à Cocagne, le 19 février 1808, avec Anne Surette, fille de Joseph Surette et d'Isabelle Babineau, et veuve de Casimir Melanson. Joseph Guéguen est décédé à Cocagne le 28 février 1825. Source: Université de Moncton | GOÉGUEN, Joseph (I1538)
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2676 | Hong Kong Veterans Commemorative Association Alfred ARSENAULT Son of Thomas and Marie (Bujold) Arsenault of Caplan, QC, was born on December 14, 1919. His parents married on April 16, 1899 and had a large family -- twelve children in total. A year after gaining his freedom and returning home, Joseph married Rita Hache on June 15, 1946 in Campbelton, NB. The couple had three children. Individual Report: E30704 Alfred ARSENAULT 1st Bn The Royal Rifles of Canada Alfred ARSENAULT General Information Rank: First Name: Second Name: Rifleman Alfred Joseph From: Enlistment Region: Date of Birth (y-m-d): Campbellton NB Eastern Quebec 1919-12-14 Appointment: Company: Platoon: Transportation - Home Base to Hong Kong Members of 'C' Force from the East travelled across Canada by CNR troop train, picking up reinforcements enroute. Stops included Valcartier, Montreal, Ottawa, Armstrong ON, Capreol ON, Winnipeg, Melville SK, Saskatoon, Edmonton, Jasper, and Vancouver, arriving in Vancouver on Oct 27 at 0800 hrs. The Winnipeg Grenadiers and the local soldiers that were with Brigade Headquarters from Winnipeg to BC travelled on a CPR train to Vancouver. All members embarked from Vancouver on the ships AWATEA and PRINCE ROBERT. AWATEA was a New Zealand Liner and the PRINCE ROBERT was a converted cruiser. "C" Company of the Rifles was assigned to the PRINCE ROBERT, everyone else boarded the AWATEA. The ships sailed from Vancouver on Oct 27th and arrived in Hong Kong on November 16th, having made brief stops enroute at Honolulu and Manila. Equipment earmarked for 'C' Force use was loaded on the ship DON JOSE, but would never reach Hong Kong as it was rerouted to Manila when hostilities commenced. On arrival, all troops were quartered at Nanking Barracks, Sham Shui Po Camp, in Kowloon. POW Camps Camp ID Camp Name Location Company Type of Work Reference Arrive Depart HK-SM-01 Stanley Fort Stanley, Hong Kong Island 20, 31, 33 Capture 41 Dec 30 HK-NP-01 North Point North Point, Hong Kong Island 41 Dec 30 42 Sep 26 HK-SA-02 Shamshuipo Kowloon, Hong Kong 42 Sep 26 43 Aug 15 JP-To-5B Niigata-Rinko Niigata-ken, Nakakambara-gun, Ogata-mura, Japan Marutsu, Rinko Coal, Shintetsu Stevedore labor at port of Niigata (Marutsu), primarily foodstuffs; mining coal (Rinko Coal ) and labor at a foundry (Shintetsu) 4, 34 43 Sep 03 44 Jan 18 JP-To-15B Niigata-Tekko Niigata-ken, Niigata City, Yamanoshita, Akiba-dori, Japan Niigata Ironworks Company 44 Jan 18 45 Sep 05 | Famille: Joseph Alfred ARSENAULT / Rita HACHÉ (F4999)
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2677 | Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. | BUJOLD, Joseph Roger Rémi P.C., C.M. (I10419)
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2678 | Honorable THOMAS J. BUJOLD Thomas Joseph Bujold, 89, died Wednesday, Feb. 2, 2011, in Solvay Hospice House. He was born in Duluth to Clifford and Mary (Doyle) Bujold. Thomas graduated from Denfeld High School in 1939 and Marquette Law School in 1952. He married Margaret Arimond in 1951. During World War II he served with the U.S. Airforce. He entered private practice in Duluth and worked with the Duluth City Attorneys Office for eight years until serving as District Court Judge, retiring in 1985. Judge Bujold was a member of the Civitan Service Organization, Elks B.O.P.E., American Legion, a charter member of the Boys and Girls Club Board and was a 4th degree member of the Knights of Columbus. He was preceded in death by his parents; brothers Jack and Bob; and sisters, Mary, Colleen and Suzanne. Judge Bujold is survived by his wife, Margaret; sons Patrick (Linda) of Grand Rapids, Sean (Jane) of Menominee, Wis.; daughters Sally Bujold of Duluth, Marita (Paul) Philpott of St. Paul and Eileen Bujold of Minneapolis. VISITATION: 5-7 p.m. with 5:30 p.m. prayers Friday, Feb. 4, in Dougherty Funeral Home. Mass of Christian burial 11 a.m. Saturday, Feb. 5, in St. Michael's Catholic Church, 4901 E. Superior St. Arrangements by Dougherty Funeral Home, 600 E. Second St., (218) 727-3555. | BUJOLD, Judge Thomas Joseph (I4483)
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2679 | Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. | BUJOLD, Charles Jacques Joseph (I1113)
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2680 | Hôpital Louisbourg, S. White p. #178 | BONNEVIE, Jacques (I21709)
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2681 | Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. | FERLAND, Danielle (I18840)
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2682 | Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. | FERLAND, Margelaine (I18826)
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2683 | Hôpital St-Joseph Campbelton, N.B. | FERLAND, Denise (I17253)
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2684 | Hôpital St-Joseph Campbelton, N.B. | FERLAND, Daniel (I18839)
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2685 | HOWARD died in WWII crossing the river Rhine in Germany. Howard Beard Name: Howard Beard Event Type: Burial Event Date: 1945 Event Place: Jennings, Jefferson Davis Parish, Louisiana, United States of America Event Place (Original): Jennings, Jefferson Davis Parish, Louisiana, United States of America Age (Estimated): 33 Birth Date: 30 Oct 1912 Death Date: 29 Dec 1945 Cemetery: Greenwood Cemetery | BEARD, PVT Howard (I16921)
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2686 | Hubert BUJOLD 1st Bn The Royal Rifles of Canada Rank: Rifleman From:Cross Point QC Company A Members of 'C' Force from the East travelled across Canada by CNR troop train, picking up reinforcements enroute. Stops included Valcartier, Montreal, Ottawa, Armstrong ON, Capreol ON, Winnipeg, Melville SK, Saskatoon, Edmonton, Jasper, and Vancouver, arriving in Vancouver on Oct 27 at 0800 hrs. The Winnipeg Grenadiers and the local soldiers that were with Brigade Headquarters from Winnipeg to BC travelled on a CPR train to Vancouver. All members embarked from Vancouver on the ships AWATEA and PRINCE ROBERT. AWATEA was a New Zealand Liner and the PRINCE ROBERT was a converted cruiser. "C" Company of the Rifles was assigned to the PRINCE ROBERT, everyone else boarded the AWATEA. The ships sailed from Vancouver on Oct 27th and arrived in Hong Kong on November 16th, having made brief stops enroute at Honolulu and Manila. Equipment earmarked for 'C' Force use was loaded on the ship DON JOSE, but would never reach Hong Kong as it was rerouted to Manila when hostilities commenced. On arrival, all troops were quartered at Nanking Barracks, Sham Shui Po Camp, in Kowloon. Date of Death (y-m-d): 1941-12-23 Missing In Action Cemetery Location: Cape Collinson Road Chai Wan Hong Kong China Cemetery: Sai Wan Memorial Grave number: Column 24 | BUJOLD, Hubert (I3336)
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2687 | Hubert Bujold fils de Léonard et Emelie Goulet n. 29 janvier 1839 V 7 p 24 | BUJOLD, Hubert (I716)
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2688 | HUDSON- Yvette (Marcoux-Thiboutot) Chase, 98, a longtime resident of Nashua and Hudson, died peacefully Friday, August 24, 2018 at the Fairview Nursing Home in Hudson. Yvette was the beloved wife of the late Armand C. Thiboutot who died February 14, 1971 and the late Philip Chase who died September 22, 1995. Yvette was born in Lawrence, MA on December 7, 1919 and was the daughter of the late Arthur and Alice (Dube) Marcoux. For many years, she had been employed by Rivier College. She had also worked at Yvonne Fish & Chips, Sanders, McNulty and Foley Catering and the Nashua Country Club. She was predeceased by a daughter, Arlene Bujold, a brother, Arthur Marcoux, a sister, Beatrice Stewart and a son-in-law, Donald Bujold. Yvette is survived by three sons; Maurice Thiboutot of Litchfield, Raymond Thiboutot and his wife Nadja of Merrimack and Roland Thiboutot of Tampa, FL; One daughter; Lorraine Paul and her husband Robert of Nashua; 12 grandchildren, 19 great-grandchildren and 5 great-great-grandchildren as well as many nieces, nephews and cousins. Relatives and friends are invited to her visitation on Tuesday August 28, 2018 from 4 to 7 PM in the ANCTIL-ROCHETTE & SON FUNERAL HOME, 21 KINSLEY ST., NASHUA. A Mass of Christian Burial will be celebrated on Wednesday August 29, 2018 in St. Louis de Gonzague Church, 48 West Hollis St., Nashua at 10:00 AM. Burial will follow in St. Louis Cemetery. | MARCOUX, Yvette (I14654)
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2689 | HUGUETTE BUJOLD 27 février 1935 – 20 mars 2011 - 76 ans Au CSSS Côte de Gaspé Pavillon Mgr Ross, le 20 mars 2011 est décédée à l'âge de 76 ans, MADAME HUGUETTE BUJOLD épouse de feu M. Lucien Picard demeurant à Gaspé. Madame Huguette Bujold laisse dans le deuil, 1 fils Emanuel (Renée Cummings), 2 petites-filles: Andréane Dubé, Marie-Pier Dubé, 2 soeurs: Michèle, Marielle, beaux-frères, belles-soeurs, neveux, nièces ainsi que plusieurs ami(e)s. Les services professionnels ont été confiés à la Résidence Funéraire Valère Fortin de Gaspé. | BUJOLD, Thérèse-Huguette (I8097)
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2690 | Huguette Cyr 1934-2020 Huguette Cyr À l'Hôpital Régional d'Edmundston, le lundi 3 février 2020, à l'âge de 85 ans, est décédée Huguette Cyr, épouse de Fernand W. Cyr, domiciliée au Foyer Notre-Dame de Saint-Léonard et autrefois de St-Léonard-Parent. Née à Saint-André en 1934, elle était fille de feu Willie Cyr et de feu Jeanne Marquis. Elle laisse dans le deuil son époux Fernand, résidant du Foyer Ringuette de Sainte-Anne-de-Madawaska, six enfants, Jacques (feu Nicole)(Colette Beaulieu-Caissie) de Saint-André, Jacqueline Lavoie (Ben) de Saint-André, Gaëtan (Jennifer Scott) de Brampton, Ontario, Ginette Marquis (Jean-Jules Violette) de St-Léonard-Parent, Donald (Loretta Cyr) de St-Léonard-Parent et Jean-Pierre (Linda Bijeau) de Saint-Léonard, 17 petits-enfants, 33 arrière-petits-enfants, deux frères et une soeur, Gaston Cyr (Oliva) de Drummond, Anne St-Pierre (feu François) de Danbury, Connecticut et Jean-Paul Cyr (Thérèse) de Sudbury, Ontario, belles-soeurs, Carmen (feu Euclide) et Elly (feu Rhéo), ainsi que des neveux et nièces. Elle a été précédée par une arrière-petite-fille en bas-âge, Hope, ses soeurs, Jeannine Powers, Jacqueline ''Aline'' Cyr et Yvette Beauregard, ses frères, Roger, Gilles, Lorne, Euclide, Antonio, Guy et Rhéo Cyr. La dépouille mortelle de Mme Huguette Cyr sera exposée au Salon Guy O'Regan, 83, rue St-Antoine à Saint-Léonard. Les heures de visites seront samedi de 9h à 11h. Ses funérailles auront lieu le samedi 8 février à 11h en l'église de Saint-Léonard avec inhumation au cimetière St-Antoine-de-Padoue de St-Léonard-Parent. | CYR, Hugette (I16969)
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2691 | I descend from the Joncas family of Grande Riviere in the Gaspe. My 3rd great grandmother was Anastasia Joncas, daughter of Alexis (Alexander?) Joncas and Charlotte Beaudin. She was born about 1825. She married 1st to Julien Poirier in Grande Riviere on 20 Sep 1844. I believe that they had at least one child, Phillip, who was born about 1845 or so. I do not know what became of Julien Poirier or where the family went after their marriage. But by Dec 1856, she had remarried to William Doyle, of Jacquet River, New Brunswick, and their oldest daughter, Mary Jane Doyle (my 2nd great grandmother) was baptised on 3 Mar 1857 at age 2 1/2 Mo. at the Roman Catholic Church at Belledune, Gloucester Co., NB. Other children of William Doyle and Anastasia Joncas who were born at Jacquet River, NB are James Rufus Doyle, William D. Doyle and Lucy Doyle. Mary Jane Doyle married Charles Bujold 30 Jun 1873 at Dalhousie, Restigouche Co., NB. William D. Doyle married Mary DeGrace in Nash Creek, Restigouche Co., NB on 17 Jul 1882. James Rufus Doyle married Angelique Lapointe on 22 May 1882 in Nash Creek and Lucy Doyle married George Doucet in Nash Creek on 9 Jul 1883. In the year 1883, Mary Jane and Charles Bujold and their children went to Michigan, as did William and Mary Doyle and Lucy and George Doucet. William Doyle and Anastasia Joncas also went to the U.S. along with their married children. Only James Rufus Doyle and his family remained behind on the family farm in Jacquet River. William Doyle died in Tomahawk, Wisconsin in Dec 1901 and we found his grave in the remains of an abandoned and forgotten old Catholic Cemetery there. Anastasia lived to be near 100 and died at her daughter Lucy Ducett's house in Chicago, Cook Co., IL on 21 Sep 1923. She was supposedly buried in Tomahawk, WI (according to her death certificate) but we have found no trace of her grave yet. | Famille: William DOYLE / Eustasie dite Anastasie dite Ann JONCAS (F3473)
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2692 | Ida “Billie” Bujol Roberts Ida Bujol "Billie" Roberts died Sunday, Aug. 26, 2001, at The Care Center. She was 90, a resident of Baton Rouge and a native of Genesee. She was a retired operator for Kean's Cleaners. She was the wife of the late Burnelle M. Roberts Sr.; and mother of the late U.S. Army Capt. Marvin James Roberts. She is survived by two sons, Burnelle M. Roberts Jr. and his wife, Mona Roberts, and Joseph Jay Roberts and his wife, Barbara Roberts, all of Baton Rouge; two sisters, Mary Bell Maggio and Florence B. MacKenzie, both of Baton Rouge; three grandsons; five granddaughters; 19 great-grandchildren, four nieces, a nephew, three great-nephews, two great-great-nephews and two great-great-nieces. She was also preceded in death by a grandson, Jonathan M. Roberts; two brothers, Marvin J. Bujol and Roy Sydney Bujol; and a sister, Mildred Stiener. Obituary published in The Advocate, Baton Rouge, La., August 28, 2001, page 10-A. | BUJAL BUJOL (BUJOLD), Ida dite Billie (I14303)
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2693 | Il 'etait forgeron | MERCIER, Honoré (I8612)
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2694 | il a 22 ans au recensement de 1698 à Beaubassin. il a 4 bete a corne, 8 brebis, 1 cochon. Au recensement de 1700 7 bete a corne, 10 brebis, 2 cochon. 4 arpent en valeur, 1 fusil. en 1728 il est a Malpeque en 1734 il est A Malpeque pei | ARSENEAU, Pierre (I6664)
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2695 | Il a été baptisé à la naissance par le vieux Jean Tibaudo. Il a été rebaptisé le 4 novembre 1738 à Saint Charles des Mines, Grand-Pré, Acadie. Ses parrains étaient Paul Bourg et Claire Doucet. | BUGEAUD (BUGEOT, BUJAU), Paul (I369)
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2696 | Il a survecu pour 3 heures | BUJOLD, Anonyme (I17357)
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2697 | il a travaillé pour la compagnie de la baie D'hudson de 17 à 21 ans il transportait les fourrures et est ensuite devenu coureur des bois pendant de tres nombreuses années. Il a eu des petits problemes avec le Gouvernement de la nouvelle france mais n'a pas été excommunié. Il a vécu longtemps à Sorel. SRC: Sandra Rochon | BRICAULT LAMARCHE, Pierre (I5884)
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2698 | Il a vécu sur la ferme ancestrale. Il fut Cultivateur | BUJOLD, Armand (I11664)
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2699 | Il a vit 1 heure | BUJOLD, Anonyme (I17369)
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2700 | il abandone sa deuxieme épouse en 1915 Il travail sur les trains. il semble qu'íl est parti un matin et est jamais revenue. | LEBLANC, Henri (I1319)
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